& on passerai presque pour des vieilles connes qui connaissent même pas les règles du "TrouD'balle", ouais.
C’est comme si j’avais dérivé vers des rivages aux yeux trop bleus porté par des vents qui me soufflaient qu’ailleurs c’est mieux. Tout encore me tire vers toi. Et pourtant, Je reste sur ce banc. N’écoute plus les gens. Que notre amour est beau à mourir. Ai-je attendu trop longtemps ? Ne refuse pas l’hiver. J’ai tant de choses à te dire. Dans la canicule de cet été, sous un soleil écrasant, la rue disparaîtra peu à peu n'est ce pas ? Les trottoirs où nous marchions tous les deux, réduits en miette comme ça. Ce qu’il restera de nous. Cette place, ce banc et ma tête sur ton épaule. Mais on ne saura, ce que le soleil gardait pour Toi & Moi, maintenant j'ai perdu l'impression de te connaitre, ma place dans cet univers. Et toujours des montagnes de questions, où subsiste ton putain.de nom.
Tant qu’il reste l’amour, toi et moi se parlant d’amour. Les autres ont perdu.
& c'est faux. hein ?