Cette suréalié qu'était erasmus. Ce qui me convenait parfaitement. Hors du temps. Don't worry, be happy. Pas d'obligations, pas de contraintes. Lacheté much ? Comme cette vie me dépite. Take me back to Trekroner. Crise. Comme pour combler un manque, de je ne sais quoi. De je ne sais qui. Des montagnes de questions, où ne subsiste plus rien. Ni ton écho, ni celui de personne. Et le pire est là , réaliser qu'on n'a plus personne à  blamer. Même si parfois, le raz de marée des souvenir me submerge, je réalise maintenant how made up they were. Le temps à  coulé sous les ponts de ma vie. Je suis vieille, pour la gamine de 16 ans, amoureuse à souhait que j'étais. Et haineuse au possible. Place à l'indifférence. La passivité. J'attends toujours ce futur-moi qui aura toutes les réponses. Ainsi que le bus de la volonté d'ailleurs. C'était bien trop facile d'attribuer le vide du fond de mon ventre à tout et n'importe quoi. N'importe qui- Les quelques A qui ont compté, mon père, ma mère aussi j'avoue, cette dynamique familiale si destructrice parfois. Mais, en y repensant, déjà en ce2. Du coup, à qui la faute ? Mes études m'obligent à penser que l'éducation a joué un rôle. Mais there's not so much it can do. La génétique ? La question est donc, peut on être génétiquement programmé à ne pas avoir de couilles ? Weird how writing here still makes me feel so good. Peacefull almost. But not as much as I wish. As much as I need. Je cherche quelqu'un qui pourrait me comprendre. Que je pourrais appeler maintenant. Et je sais toujours pas si il y à deux P et/ou deux L à "appeler".

Et des réponses qui semblent aussi réelles un jour, qu'éphémères le lendemain. Toi, lui, eux. Quelqu'un.
N'importe qui.