Je bave toujours autant. La perfection physique selon moi, c'est ce type. Si je devais, si je POUVAIS créer l'homme parfait, il aurait sa gueule. Sa putain de petite gueule parfaite. Pour ce qui est du reste, quoi qu'il soit, qui qu'il soit, qu'on se le dise, ça n'irai pas.
Un jour, ils se lasseront tous de la petite dépressive du dimanche soir, incapable de foutre un pied devant l'autre. De ce petit cinéma.
Me jeter sous une voiture ou foncer dans un mur, juste pour voir.
J'écoute une musique de tablard et j'accélère. Juste pour voir. Et je freine, parce que je suis une lâche.
Et vous, et vos petites vies géniales. "ouais et bah moi, ééh, j'ai une hyène."
S'investir, j'sais pas faire.
Donc, bien sur, que je suis jalouse, que je vous hais en silence.
Que je me trouve des excuses. L'argent. Ma famille. La société. Ce connard sexy like hell.
La balance aussi un peu parfois. (toujours ?!)
Le monde entier et les catastrophes naturelles. J'ai l'impression que c'est inné.
Chaque fin d'été sonne comme la fin d'une vie.
La fin d'une vie.
& j'n'écoute pas c'que les gens dise. Juste ce que ma tête me hurle, et c'est putain de suffisant.
Les personnes qui nous rendent heureuses ne sont jamais celles qu'on pense.
Heureuse.
J'ai envie qu'il me lise. Peut-être pour qu'il me comprenne un peu.
Ou parce que je suis une sale narcissique.
I'm not good at relationships
I always manage to find the flaws.
sometimes in others
but mostly my own.
I foretell the ending
then go and create the cause
save myself
and end up alone.