C'est toujours pareil, je recommence ailleurs, je reviens ici. Une jolie, gentille petite boucle. Again&again comme on dit. Le serpent qui bouffe sa queue, il faut croire que ma bouche est très grande. Je suis surement un peu -très- nombriliste-Et c'est repartit pour un énorme article-foure-tout. Vous ne seriez pas un peu idiot ? Non monsieur je suis un rêveur. J'espère que tu me lis et tu te rend compte à quelle point tu n'existe plus pour moi, friendship is over. Et on continu d'agrandir la liste des cons/connes qui sont passés/ées pendant que la liste de ceux qui restent rétrécie. Pour le meilleur ? Ni adieu ni peut-être ni attends. Parfois -souvent- ce fils de pute de hasard fait mal les choses, nous n'allons pas à Musilac cette année. Et je reste un petite, petite fille. Minuscule, je nous sent minuscule. Mais ça ne m'empêche pas d'être énorme à ma manière. Je n'ai plus ta voix, plus tes mots, même plus ton nom dans mon répertoire. Et ça me suffisait à me sentir mieux, exister. Le monde ne s'arrête pas de tourner parce qu'on ferme les yeux. C'est toujours les même conneries ici.
Il y a des journées comme ça où l'on a envie de prendre une fourchette à huître et de l'enfoncer sauvagement dans l'oeil de tous les cons que l'on rencontre. Je pars le 3 & vos yeux n'en sont pas plus emmerdés que ça.
Le temps passe, vous me faites toujours autant vomir.
Et je ne crois pas que ce soit de la jalousie.
Je comprends ce que tu ressens à propos de ces gens, "vos yeux n'en sont pas plus emmerdés que ça". On doit partir, mais on aimerait bien que quelqu'un nous retienne, que quelqu'un nous dise qu'on lui manquera, qu'on lui manque déjà =/
Alala, les amis et la famille ne sont plus ce qu'ils étaient ... (ou ce qu'on aurait aimé qu'ils soient !)