Prête à bouffer le frigo entier. Et me faire rouler jusqu'au lac. Pas besoin de me cimenter les pieds pour que je coule au fond. - Jusqu'à maintenant, c'était facile, c'était toujours la faute d'un autre. Bam, révélation. Sabotage automatique inside. - Je déteste dormir dans les bras de quelqu'un, sauf quand je suis seule dans mon lit. - Je les embrasse, je me fais des films que comment notre relation va être géniale, à quelle point elle va être parfaite et passionnelle. Et je me barre. - The hardest part, leaving or living ? - Le passé ne meurt jamais vraiment. Il est là, il attend, sous la surface de notre aujourd'hui. - J'ai même pas pas envie de retourner à l'uni, je suis indifférente. - Caroline is a Victim -
I wish I could trade my heart for and liver so I could drink more, and care less.
Si on tient compte de tenants et des aboutissants de cette histoire (ahaha), je peux m'en prendre qu'à moi même. Et je comprend le regard apitoyé qu'on me lance quand je déclare avec tellement de nonchalance forcée que "on verra bien". Le regard "tu fais de la merde, ce type est génial". Sans blague, à qui crois tu parler ?- Combien de types auraient pu creer TDS a cause de moi ? Tellement égocentrique la meuf. J'ai envie de me barrer, tout arrêter et aller faire du vélo avec Brun au Danemark, ou où que se soit. Albuquerque. Illinois. Chicago. Nebraska. La magie des mots qui me font partir loin sans bouger de mon canap. J'ai envie de me téléporter dans la futur Charlène. Celle qui aura trouver le moyen de vivre. Trouver la solution à cette vie cheloument chelou. A ce sentiment bizarre qu'il n'y a que des portes fermées. Les ouvrir à coup de pied ? Je sais même pas si j'ai la force de tendre la main pour essayer la poignée actuellement. Poser ses couilles sur la table. Appliquer le "on est jeune - on a 20 ans - on a le temps" 21 putain, fixation limite.
Il faut que je me secoue.