Murder on the dancefloor. Mine.
Toujours ce petit piquotement
au creux du ventre. Je ne te cherche plus.
Mais quand tu me trouve. Quand je te vois.
Cette gueule putain, Les cheveux, juste.
Bam.
Et puis tu sais y faire. ahaha
Si il n'y a que dans ce blog que j'en parle, que je lui parle, c'est qu'il existe, subsite, au fond de moi, une infime partie qui croit encore en toi, en un nous. AHAHA. Mais pitié. Je m'euto-dépite d'écrire des trucs pareils. De PENSER des trucs pareils. CTDV ? lol.
And yet, to every bad, there's a worst.
I cherish it. Until I touch the ground.
Bam.
3kg960, pour sur, I was born this way.
Je ne peux plus me regarder dans un miroir de plus de 30cm2.
Et ça rétrécie de semaines en semaines.
Enfaite, je suis devenu une meuf aigrie. Les concessions pour 'le' voir, what what ?
Je hais l'amour.
Les petits lycéens qui s'embrassent aux arrets de bus, les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics ?
Ca me dégoute. Genre vraiment.
Genre ma première et seule réaction "Yeurk"
J'ai oublié mon père.
Comme on oublie d'acheter des oeufs a inter.
C'est fini le "Il faudrait qu'elle grandisse"
Il faudrait une illumination. Une révélation.
Mais ça n'arrivera pas. Une manipulatrice égoïste comme on en fait plus.
L'amour qu'elle nous porte, que je questionne soit.dit.en.passant, est enfoui sous une couche d'Elle même.
Insecure much ? Jalouse much ?
THE PEOPLE WHO GIVES A SHIT
ARE RIGHT THERE : ___
ARE RIGHT THERE : ___